Il craignait de sembler escompter ce qu’il désirait et de prendre trop vite pour une réalité ce qui vraiment n’eût été que juste. […] Qu’importe, après tout, puisque le coin imperceptible de la réalité que nous entrevoyons est plein de ravissantes harmonies, et que la vie, telle qu’elle nous a été octroyée, est un don excellent et pour chacun de nous la révélation d’une bonté infinie ? […] Dans ses dernières années, il vit la forme de gouvernement pour laquelle il avait toujours combattu devenir une réalité.