Avant le xiie siècle, qui paraît être l’époque où le roman se constitue et reçoit des règles, il n’existe aucun monument de ce caractère. […] Mais tel est le besoin qu’ont les esprits élevés, même dans les temps les plus corrompus, d’une règle du bien et du mal, qu’à défaut de la morale générale qui eût fait voir à Comines le mal dans le succès, il le voit du moins dans les revers, qu’il attribue à l’ignorance des princes et à leur peu de foi.