Je sais bien qu’elle est proclamée, comme un dogme, par toute une école de publicistes qui prétendent que l’art n’a pas de règle, n’a pas de pudeur et n’a pas de danger. […] C’est que, en effet, une autre règle plus délicate, infiniment plus difficile à observer, s’impose à l’écrivain, à celui-là surtout qui prétend raconter et analyser le monde des passions humaines. […] Règle redoutable !