Franchement, nous l’avions cru d’abord ; nous avions cru en ouvrant ce volume, coquet de robe comme celle dont il est question, avoir encore à essuyer une de ces apologies qui furent presque des adorations sous la plume enivrée de Capefigue. […] Il y a bien une phrase dans l’introduction où il est question de l’image gracieuse de l’amour d’Henri IV et de Gabrielle ; mais c’est de suite fini, et l’auteur, qui a encore ce vieux œil de poudre sur la pensée, ne retourne plus à cette bergerie : il redevient et reste sérieux.