Telle est la question, pourtant, qui domine cette matière. […] Or, c’est précisément la question française que nous voulons une dernière fois lui poser ! III Pour nous, en effet, encore plus que pour lui, toute cette grosse philosophie politique dans laquelle il sonne comme dans une trompe, avec des efforts à se démonter le cerveau, n’est rien de plus qu’une petite question d’histoire, et d’histoire de France. […] Or, ici, la question de l’État, qui est toute la question de son livre, vient de nouveau se poser à propos du progrès, et si cette question, qui dévore tout, reste sans solution et sans lumière, elle projette la misère de son indécision sur toutes les idées de l’auteur : « L’État — dit-il — ne crée pas toujours le progrès, mais il peut le créer. » Et voilà que l’éternel embarras recommence ! […] Questions qui reviennent de toutes parts, et au milieu desquelles Dupont-White (un vigoureux esprit pourtant !)