La princesse des Ursins, à son tour, traitait moins solennellement et plus agréablement la même question dans une de ses lettres à Mme de Maintenon. […] Il n’est plus question de me reposer après le dîner, ni de manger quand j’ai faim : je suis trop heureuse de pouvoir faire un mauvais repas en courant ; et encore est-il bien rare qu’on ne m’appelle pas dans le moment que je me mets à table.