Jamais notre question ne recevra sa dernière réponse. […] Lamartine reprend plus tard la question : Le sage en sa pensée a dit un jour : « Pourquoi, Si je suis fils de Dieu, le mal est-il en moi ? […] En somme Lamartine, qui se souvient de la quiétude des classiques plus qu’il ne pressent les agitations des modernes, n’est qu’assez légèrement affecté encore par toutes ces questions morales, philosophiques et religieuses qui préoccuperont nos poètes contemporains.