/ 2476
544. (1857) Causeries du lundi. Tome II (3e éd.) « Lettres de Mme de Graffigny, ou Voltaire à Cirey. » pp. 208-225

Voilà le petit côté, Mme de Graffigny nous le fait toucher à nu, mais sans l’exagérer, et en reconnaissant d’ailleurs à Voltaire ses qualités vives, irrésistibles, et, malgré tout, aimables. […] Elle a deux qualités du moins : elle aime ses amis avec sincérité et effusion, et elle a cette sensibilité qui comprend le malheur pour l’avoir tant éprouvé. […] Cela me fait mal, parce que je sens le prix de toutes ses bonnes qualités, et que réellement il mérite d’être heureux.

/ 2476