Voilà donc toute activité réduite au mouvement dans la vie universelle, tout être ramené à la force élémentaire soumise aux pures lois de la mécanique. […] Pure illusion. […] Si l’âme, la vie, la liberté sont au premier plan de la scène, c’est la nécessité, la pure force mécanique qui est au fond et qui en fait tout le jeu. […] Un pur phénomène, c’est-à-dire le sentiment de notre liberté. […] Alors il lui est impossible d’accepter ce panthéisme qui fait des êtres individuels de purs modes de l’Être universel.