Quelques propositions, que nous rencontrons souvent sous une forme plus ou moins claire, semblent vouloir dire que notre méthode de classification implique quelque chose de plus que de pures ressemblances. […] Nous pouvons comprendre pourquoi nous évaluons certaines ressemblances plus que d’autres ; pourquoi nous pouvons nous fier aux organes rudimentaires et inutiles ou à d’autres particularités de peu d’importance physiologique ; et pourquoi, en comparant un groupe avec un autre groupe distinct, nous rejetons en. masse tous les caractères analogiques ou de pure adaptation qui peuvent se présenter, bien que ces mêmes caractères nous soient utiles dans les limites du même groupe.