La puissance la plus réelle gagne toujours à s’exercer. […] Adolphe est las de lui-même et de sa puissance inoccupée ; il aspire à vouloir, à dominer, à parler pour être compris, à conduire pour être suivi, à aimer pour mettre à l’ombre de sa puissance une volonté moins forte que la sienne, et qui se confie en obéissant. […] Déjà il félicite sa volonté persévérante de la puissance qui vient de lui échoir. […] Il avait en lui-même une puissance de génie et de volonté capable de réaliser les plus grandes pensées, les plus gigantesques entreprises. […] À quoi bon risquer sa puissance pour un salaire aussi douteux ?