Malheureusement (je l’ai dit déjà et c’est la seule critique qu’il y ait à faire dans ces Contes), tout n’y est pas de la même puissance, et j’y retrouve l’inégalité que j’avais indiquée déjà dans les premiers ouvrages de Hello, cette inégalité qui est dans la nature des hommes qui vont très haut, et qui retombent d’autant plus raide et plus bas qu’ils se sont élevés davantage. […] Les Deux étrangers ont justement ce caractère mystérieux et solennellement alarmant qu’Edgar Poe, le magnétique démoniaque, communique à son lecteur avec tant de puissance, quoique le malheureux ne crût probablement pas à cet abîme de toute terreur : le démon !