Zola, dans sa prétention la plus accusée, qui était d’être de la peinture par les mots élevée à sa plus haute puissance plastique, n’est, au fond, qu’une suite parfois très fatigante de nomenclatures à épithètes violentes. […] Zola, qui aurait bien la petite coquetterie d’être une monstruosité, ni inspiration, ni observation indiquant une haute puissance d’artiste, même fourvoyée.