Elles dépendent d’une autre puissance de la sensibilité. » Il y a lieu maintenant de se demander quelle est la valeur relative de ces différents sens. […] En outre, l’impuissance reconnue de la vue à donner la troisième dimension rend par analogie la puissance à percevoir les deux autres peu probables. […] La puissance de l’association des idées est telle qu’une théorie en fait la faculté maîtresse de l’esprit. […] L’idée est quelque chose de mort, elle n’a pas la puissance d’agir sur la volonté. […] Mais elle n’y est qu’en puissance ; il faut l’en dégager : c’est l’œuvre du syllogisme : il lie en moi deux idées qui auparavant n’étaient pas attachées ; en ce sens au moins, il fait donc connaître quelque chose de nouveau.