Avant d’être à Versailles et pendant qu’il pratiquait la médecine à Aix, Lieutaud avait lu avec des yeux sévères un traité de Sénac, premier médecin du roi ; il envoya ses réflexions critiques à un libraire de Paris pour les publier, mais avec permission de les communiquer auparavant à l’auteur qu’elles intéressaient. […] Lieutaud, cela est tout simple, ne publia point sa réfutation : « Tous les deux firent alors ce qu’ils se devaient, nous dit Vicq d’Azyr, et ils en retirèrent les avantages qui sont l’effet nécessaire d’une justice réciproque. […] Le Comité de salut public avait publié une instruction à ce sujet.