Arréat avait déjà publié certain Journal d’un philosophe qui avait été remarqué. […] Raoul Jeudy a traduit librement, très librement, en vers français, La Méchante mise à la raison de Shakspeare, et la publie sous ce titre : La Mégère apprivoisée.
Arréat avait déjà publié certain Journal d’un philosophe qui avait été remarqué. […] Raoul Jeudy a traduit librement, très librement, en vers français, La Méchante mise à la raison de Shakspeare, et la publie sous ce titre : La Mégère apprivoisée.