D’Urfé n’avait pas encore publié le premier tome de ce roman de L’Astrée, qui devait être aussi un événement. […] Ayant été amenée un jour à les montrer à un père Ferrier33 de Chambéry, ce docte personnage fort versé aux choses de l’esprit en fut très frappé, et pressa l’évêque de Genève de les publier.