Mais quand Frédéric admirait dans Voltaire le grand poète par excellence, quand il voyait dans La Henriade le nec plus ultra des épopées, et qu’il la mettait bien au-dessus des Iliade et des Énéide, il prouvait seulement son manque d’idéal, et à quel point il avait borné de ce côté ses horizons. […] [NdA] Il paraît prouvé aujourd’hui que ce remarquable portrait de Voltaire, trouvé dans les papiers de Frédéric, n’est pas de lui : il se borna, en le copiant de sa main, à en ratifier la justesse.