Il est bien vrai que, plus d’un siècle après, dans le recueil de Pièces intéressantes, donné par La Place, on lit les Stances de Corneille tronquées et sous ce titre : La comtesse de … à la marquise de … Mais qu’est-ce que cela prouve, et la publication d’un éditeur de la fin du xviiie siècle peut-elle prévaloir contre celle qui fut faite du temps de Corneille et de son aveu ? […] Mais tout nous prouve que c’est bien pour son propre compte que Corneille a senti et grondé ces beaux vers ; la griffe et l’âme du lion y sortent de toutes parts.