Quintilien dit encore dans un autre endroit, que nous avons déja cité quand nous avons voulu prouver que la déclamation des anciens n’étoit pas un chant musical tel que les nôtres, qu’il faut bien qu’un enfant à qui l’on fait lire les poëtes les lise autrement qu’il ne liroit de la prose, mais qu’il ne faut pas qu’il laisse échapper sa voix comme s’il récitoit un cantique sur le théatre.