Vitet a comblé les intervalles de sa trilogie nous le prouveraient. […] Ce qui est plus rare et plus méritoire, c’est la bonté dans la seconde moitié de la vie, une bonté active, éclairée, le cœur qui se perfectionne en vieillissant : cela prouve qu’on a fait bon usage de la première part et qu’on n’a pas mésusé du premier fonds.