L’un nous prouve qu’il n’y a point de corps, un autre qu’il n’y a point d’âmes, un autre que l’âme n’a nul rapport au corps, un autre que l’homme est une bête, un autre que Dieu est un miroir. […] Elle n’admettait que ce qui lui paraissait évidemment prouvé, aimait à disputer, parce qu’elle avait presque toujours une opinion à elle, et ne cédait qu’à la conviction ou enfin à la convenance. » Et lorsqu’il en vient à raconter la dernière maladie de cette jeune femme : « Elle craignait la mort parce qu’elle devait la séparer de tout ce qui lui était cher.