Les deux Ouvrages dont nous venons de parler, ont une marche libre, noble, qui prouve que l’Auteur a su se rendre maître des événemens, & les disposer de la façon la plus propre à faire effet. […] Le soin d’établir leur réputation m’a mis dans l’iimpuissance d’étendre la mienne ; & quand j’ai voulu jouir de mon propre fonds, je me suis apperçu que mes profusions m’avoient réduit à l’indigence.