Il lisait Byron, soyez en sûr, bien moins dans le texte anglais que dans ses propres sentiments à lui et dans son âme. […] Les Français et Corneille avec eux ne comprenaient les auteurs étrangers ou les anciens qu’à travers leur propre idéal. […] Au lieu d’entrainer l’écrivain dans les sentiers battus, elle le maintient dans sa voie propre. […] Les tragédies mêmes qui ont pour sujet des traits de nos propres annales, sont exposées à beaucoup d’obscurité. […] Je l’ai cru longtemps moi-même sur la foi de l’auteur, avant d’avoir pu en juger par ma propre expérience.