On voulut encore, et dans sa propre armée (où il avait des jaloux parmi les officiers généraux), et à Versailles, en user comme après Friedlingen et prétendre qu’un autre avait tout fait. […] Les réflexions que Villars adressait au ministre à ce sujet sont d’un grand sens : On les destina à servir d’exemple : mais la manière dont Maillé reçut la mort était bien plus propre à établir leur esprit de religion dans ces têtes déjà gâtées qu’à le détruire. […] Dans sa lettre au ministre, il énumère ses raisons : il rappelle qu’il n’est guère propre à servir sous un autre et sous un prince.