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1506. (1910) Rousseau contre Molière

Mais c’est le propre du candide de toujours retomber dans l’ingénuité. […] Mais ce n’est pas précisément son office propre. […] C’est là le domaine propre de Molière. […] Il est vrai que le bon Arnolphe n’a aucun mérite intellectuel ni aucun talent propre à éblouir. […] Le don qui leur est propre est l’adresse et non pas la fausseté ; dans les vrais penchants de leur sexe, même en mentant, elles ne sont point fausses.

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