qu’elle est profonde, cette rêverie du grand Schopenhauer ! […] Peut-être a-t-elle, à chaque rencontre nouvelle, le sentiment immédiat et rassurant de l’unité profonde des âmes. […] Elle a, d’ailleurs, évité tout ce que l’étude pouvait avoir d’intéressant et de profond. […] Mais les profondes joies de la femme sont des joies de disciple : elles consistent à suivre, à obéir, à calquer, à s’efforcer d’être parfaite comme le Dieu est parfait. […] Il y a dans ce volume, qui n’est pas un livre, mais qui est bien mieux, non seulement des anecdotes amusantes, mais encore des histoires touchantes de vérité profonde.