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1639. (1885) Les étapes d’un naturaliste : impressions et critiques pp. -302

Le vent qui force les chevreuils et les daims à se réfugier dans les profondes cavernes et à ne plus bondir sur le gazon des forêts fait voltiger les boucles argentées du vieillard autour de sa tête chenue. […] Ce regard si limpide et si profond vous trouble. […] Elle a des yeux profonds de plus en plus funèbres, C’est une gueuse, ô joie ! […] Quel effet profond est produit par cette fin horrible, par ce dénouement désenchanteur et d’un scepticisme raffiné, nous n’avons pas besoin de le dire. […] Peut-être briserait-il son pinceau pour ne point copier les plaies plus profondes et la corruption plus raffinée d’autres lieux et d’autres héros ! 

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