« Je voudrais que mon livre produisît un tel effet qu’on pût le croire écrit par un crétin […] Le seul grand écrivain que ce côté politique ait produit, c’est Vallès. […] La guerre et l’après-guerre ont produit dans la majeure partie de la presse un fléchissement de l’esprit, critique. […] Curnonsky et Rouff produisent en petits volumes légers et portatifs les livres de la gastronomie nomade. […] Aussi un livre comme celui de Curtius nous paraît-il un produit bien naturel de la critique littéraire allemande.