Flourens cantonne le principe vital dans un espace plus circonscrit qu’il appelle le nœud vital. […] Il y a, selon lui, deux choses dans le germe, la matière du germe, plus le principe vital. […] Il a beau répudier le principe vital en tant que principe unique : il nous en donne l’équivalent dans ses propriétés vitales. […] On ne peut saisir ce principe intérieur, l’isoler, agir sur lui. […] Cela n’est vrai, ni en principe, ni en fait.