C’est l’invasion germanique qui introduisît dans le monde le principe qui, plus tard, a servi de base à l’existence des nationalités. […] Les principes, en pareils cas, se font jour par les surprises les plus inattendues. […] Le principe des nations est le nôtre. […] Comment la France persiste-t-elle à être une nation, quand le principe qui l’a créée a disparu ? […] En quoi le principe des nationalités diffère-t-il du principe des races ?