Il y a si peu d’hommes qui pensent ; « la plupart ne s’occupent que des objets présents, ne parlent que de ce qu’ils voient, sans penser à ce que c’est que les causes cachées et les premiers principes des choses ». […] Wolff dit sans contredit de belles et bonnes choses, mais on peut pourtant le combattre, et, dès que nous remontons aux premiers principes, il ne nous reste qu’à avouer notre ignorance.