Entraînée plutôt que conduite par Diderot, à la fois le chef et le principal ouvrier de l’entreprise, qui s’y était dévoué par tempérament presque autant que par opinion, et pour avoir où dépenser son improvisation intarissable, l’Encyclopédie fit une fin confuse et tumultueuse par des volumes qui s’emplissaient au hasard de témérités de toutes sortes, et de légèretés de toutes mains, dont la plus infatigable fut celle de Diderot120. […] Les jugements sur les époques et sur les principaux noms ne provoquent ni assentiment vif ni contradiction. […] Il n’y a que deux choses auxquelles il ne pense pas et qui en sont le principal : la forme et la beauté.