Je suis toujours enchanté de la grâce, de la dignité, de la modération du prince des chrétiens. […] Un prince peut donner satisfaction à des principes, il ne peut jamais satisfaire à des passions. […] L’ambassadeur, à peine de retour à Paris, révélait dans ces chapitres des nullités ou des ridicules de princes qui ressemblaient moins à des hommages de chevalier qu’à des stigmates de satiriste.