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10. (1773) Essai sur les éloges « Chapitre XXVI. Des oraisons funèbres et des éloges dans les premiers temps de la littérature française, depuis François Ier jusqu’à la fin du règne de Henri IV. »

On y vante les grandes actions d’un prince de vingt ans, qui n’avait pu encore que prêter son nom aux malheurs de son règne. […] J’ai lu l’oraison funèbre de ce prince, que Muret prononça à Rome, en présence du pape Grégoire XIII. […] Le nom de ce prince avait de l’éclat en Europe ; et tant qu’il ne régna point, il parut digne de régner. […] Peu de princes dans l’histoire ont eu ce caractère de bonté, comme Henri IV. […] Des princes du sang, une foule de gens de la cour, et tous les hommes les plus célèbres par leur esprit et leurs talents y assistèrent.

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