Va, Moran, prends ma lance, et frappe sur le bouclier sonore de Caïrbar, il est suspendu à la porte bruyante de Tura. […] La blanche écume de ses vagues trompera tes yeux ; tu les prendras pour les voiles de ma flotte. […] Connal l’aperçut et la prit pour son ennemi. […] je lui tranchai la tête : cinq fois je l’agitai par sa chevelure : les amis de Cormac prirent la fuite. […] À sa voix, ces héros en cheveux blancs prirent leurs lances.