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1262. (1886) Revue wagnérienne. Tome I « Paris, 8 août 1885. »

Naturellement, je me décidai tout de suite à prendre ce fameux train de plaisir. […]   — « Mon héritage, donc, pour moi, je le prends. […] Ô du gouffre aqueux, sages Sœurs, nageuses filles du Rhin, je vous dois l’honnête conseil : ce que vous désirez, je vous le donne : de mes cendres, pour vous, prenez le. […] Sens ma poitrine, aussi, comme elle brûle ; le clair Feu me prend le cœur : l’enlacer, être par lui embrassée, dans la très puissante Volupté être à lui mariée… Heiaïaho ! […] Les poètes de l’époque classique ont pris au moins autant de peine pour déterminer la direction de leur génie que pour en réaliser les conceptions.

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