Mais puisqu’elles sont vraies, ne serait-il pas assez plaisant que l’on s’en prît à M. […] Biré a pris pour lui cette tâche difficile et ingrate. […] Prenez Goethe, prenez Byron, prenez Rousseau : si différents qu’ils soient les uns des autres, ils ont ce trait de commun entre eux qu’ils n’ont aimé, qu’ils n’ont connu, qu’ils n’ont vu qu’eux-mêmes au monde, et qu’en eux-mêmes, sous les noms de Saint-Preux, de don Juan, de Werther, ils n’ont pris d’intérêt qu’aux aventures de leur sensibilité. […] Il est bruyant ; il a pris pour complices les pires instincts de ses lecteurs ; il est surtout intolérant. […] Car on n’a jamais pris plus de précautions que M.