La nature avait bien sa part, à côté de ces recherches intellectuelles, mais elle était vue et traduite comme dans une églogue antique : on retrouvait le lettré aux champs… Comme fruit de cette première période, nous avons eu de M. de Nolhac, en tant que poète, une plaquette tirée à petit nombre pour quelques intimes, Paysages d’Auvergne. […] Par ce que nous avons déjà dit des premières aptitudes de l’auteur, de son éducation, de son séjour au-delà des Alpes, on voit que ce livre renferme, à tous les points de vue, une condensation bien complète.