Son premier article contient une anecdote, ou, si l’on veut, un apologue piquant. […] Les formes de Roederer, sa personne, au premier aspect, n’étaient pourtant pas propres à corriger ces préventions ou ces inimitiés si faciles à naître et à s’entretenir en temps de révolution. […] La rédaction première de cette Adresse était de Roederer ; elle avait été corrigée par Bourrienne sous la dictée de Bonaparte. […] Le Sénat conservateur, qui recrutait ses premiers membres par l’élection, l’avait désigné ; c’était une marque d’estime. […] Lebrun est un homme du premier mérite, Cretet est un homme de troisième ligne. » (Suit un long interrogatoire très précis sur Lebrun ; ce qu’il était, quelles places il a occupées avant la Révolution ; quel rôle depuis ; ce qu’il a fait comme homme de lettres ; sa réputation.