Comme l’influence de cette moelle de lion, mangée chez le Centaure, qui se retrouvait jusque dans les tendresses d’Achille, l’influence de ces premières études, de ces premières cohabitations avec les poètes de l’Angleterre, resta sur Lefèvre-Deumier, même quand sa jeunesse fut passée, quand son talent laborieusement, mûri se détachait de tout ce qui n’était pas lui-même. […] Les Confidences, qui remontent tout à fait à sa première période de jeunesse, sont un recueil d’élégies violentes, où une grande passion qui n’était pas une fiction ou une pose littéraire disait son secret.