Je m’y attachai, d’abord, parce que le roi l’avait ainsi désiré de moi ; après, par un grand fonds de mérite qu’il faisait paraître dans toutes les séances de l’Assemblée avec une si grande distinction, que personne, bien loin de prétendre le pouvoir surpasser, ne pouvait l’égaler. […] L’on ne parle point encore du successeur… Il s’agit maintenant de trouver quelqu’un qui se charge de l’oraison funèbre du mort ; on prétend qu’il n’y a que deux petites bagatelles qui rendent cet ouvrage difficile, c’est la vie et la mort. » Et un mois après (15 septembre) « Encore faut-il bien vous apprendre, mon amie, que c’est le Père Gaillard qui ne doit point faire l’oraison funèbre de feu M. l’archevêque.