Les Français de ce temps ont prétendu les remettre à la mode, mais ils n’oseront pas les remettre en lecture. Ils ont prétendu en faire un guelfe pendant qu’il cherchait à ramener un empereur étranger pour posséder l’Italie. […] — Lord Byron, continuai-je, ne se montre pas plus sage lorsqu’il dépèce votre Faust et prétend que vous aurez pris cela ici, et ceci là. » — Toutes les belles choses que lord Byron cite, dit Goethe, je ne les avais, pour la plupart, pas même lues, et j’y ai encore moins pensé, quand j’ai fait le Faust. […] Il y a des gens, dit Goethe, qui prétendent que ces discours sont grossiers, mais ces gens-là ne savent pas ce qu’ils veulent ; il y a en eux un besoin maladif de fronder tout ce qui est grand.