Mais cet impérialisme répond involontairement au césarisme littéraire qui prétend enchaîner la critique à son char. […] Pourtant le bouilli, à la rigueur, nourrit tout de même le soldat, tandis que l’influence de cette « critique des défauts » sur les auteurs est non inutile, mais plus discutable que ne le prétend Faguet.