« Il a, s’écrie-t-il, l’auréole immortelle, et je vais la faire briller à vos yeux. » J’ai eu le malheur alors, pour la notice très simple et des plus modestes que j’ai écrite sur Hégésippe Moreau, et qu’on a pu lire au tome IV de ces Causeries, j’ai eu, dis-je, le malheur de me présenter à la pensée de M.