Il est délicat, sensible aux mouches et poussé d’amour-propre ; cela l’a rendu malheureux. […] Il poussa jusqu’à la fin celui pour l’opéra, qui surpassa chez lui celui de la comédie.
Il est délicat, sensible aux mouches et poussé d’amour-propre ; cela l’a rendu malheureux. […] Il poussa jusqu’à la fin celui pour l’opéra, qui surpassa chez lui celui de la comédie.