Quelle occasion pour pénétrer le lecteur de la froide fureur qui poussait les épées des fanatiques ! […] Leur mère Parysatis l’y poussait, l’aimant mieux que le roi Artaxerxès. […] Le bruit courait qu’on devait les pousser contre les rangs des Grecs pour les rompre. […] À ce moment, ils poussèrent tous le cri de guerre et prirent tous leur course. […] Aussitôt que les premiers rangs y furent arrivés, ils poussèrent de grands cris.