Inconsciemment soumis à l’habitude et au pouvoir des mots, nous ne sommes point hors de servitude. » Nous devrons nous défier encore de nos instincts, même s’ils nous « poussent vaguement à faire œuvre de bien, de bonté et de justice » ; l’instinct n’est pas la conscience ; c’est à la conscience et non à l’instinct que nous devons obéir. […] Et toi, église colossale du flamboiement, Tu vois ces colonnes qui se dressent devant toi pousser vers toi une adoration séculaire !