Peut-être même devrions-nous pousser la simplification plus loin encore, remonter à nos souvenirs les plus anciens, chercher, dans les jeux qui amusèrent l’enfant, la première ébauche des combinaisons qui font rire l’homme. […] C’est le jeu du chat qui s’amuse avec la souris, le jeu de l’enfant qui pousse et repousse le diable au fond de sa boite, — mais raffiné, spiritualisé, transporté dans la sphère des sentiments et des idées. […] » représente un effort croissant pour refouler quelque chose qui pousse et presse pour sortir. […] Nous ne pousserons pas plus loin cette analyse des procédés de vaudeville. […] La comédie de caractère pousse dans la vie des racines autrement profondes.