« La nature pousse donc instinctivement tous les hommes à l’association politique. […] « C’est que les hommes sont poussés au crime non pas seulement par le besoin du nécessaire, que Phaléas compte apaiser avec l’égalité des biens, excellent moyen, selon lui, d’empêcher qu’un homme n’en détrousse un autre pour ne pas mourir de faim ou de froid ; ils y sont poussés encore par le besoin d’éteindre leurs désirs dans la jouissance.